On peut faire ce qu’on veut, mais le porno est un outil de propagande, une machine à fric qui promeut la culture du viol. Le porno, ce n’est pas du sexe, c’est du commerce.
L’action se passe dans un hangar à côté d’une décharge de carcasses de voitures, le lieu est sordide à souhait, le journaliste prenant soin de préciser que le garage est « détenu par des gitans ». Le décor est un peu spartiate : au sol un matelas pourri « recouvert de sacs poubelles ».