Je m’appelle Estelle. Et j’ai grandi dans la pornographie.
Crûment, avec une sincérité déroutante, une jeune fille dit le corps, le sexe, la cruauté. Elle dit aussi comment, petite fille éprise de littérature et de théâtre, elle est devenue une actrice de films X.
Karin Bernfeld est docteure en sémiologie du texte et des images. Elle est notamment l’auteure de romans et récits : Apologie de la passivité (Prix Goya 1999), Alice au pays des femelles, Les portes de l’espérance. Spécialiste de l’écriture du corps, elle a publié un guide sur l’anorexie-boulimie : Déjouer les troubles alimentaires (éd. Librio) et elle travaille comme comédienne depuis une dizaine d’années.
Commentaires déjà reçus de lectrices et lecteurs que je remercie (par ordre chronologique de réception)
« Livre reçu aujourd’hui et déjà lu… Je le trouve encore plus dur et féroce qu’Alice… La, c’est intense comme une mitraillette sans échappatoire… A relire. »
Eric B.
« J’ai l’ai lu d’une traite. Un beau texte rude, qui m’a vraiment sonnée… » Danielle B.
« Je viens de lire ce monologue, ouah!!!!
Quelle force, quel courage, quel talent, vérité, humanité, engagement, quelle artiste magnifique ! J’ai adoré, merci pour ce texte nécessaire, vital, il faut monter ce texte. » Bernard J.
« Quelle intensité dans ce monologue ! Comme il vient de loin ! La souffrance y est incroyablement transcendée grâce à un grand talent d’auteure. C’est sans concession, cru, juste. C’est une révolte, un cri contre toute cette violence faite aux femmes. On ne peut que l’entendre. » Martine F.
« je l’ai lu d’une traite, et je l’ai trouvé dur, fort, mais fascinant, un tour de force. C’est un engagement politique important ». Lucille Cairns[/twocol_one] [twocol_one_last]« Ce monologue est un témoignage à découvrir et un texte fort, radical,courageux qui ne peut en aucun cas laisser indifférent. » Jay Alanski
« Ton livre est l’œuvre splendide d’une guerrière blessée. La force et la combativité de ta conscience dévastée par ce qu’elle ne sait pas ignorer sont dans tes mots précis, aigus, lancés en rafales d’une puissance inouïe. Ce texte, comme « Alice au pays des femelles » mais avec une plus grande autorité encore, force à voir, sentir, entendre le règne de la pornographie, sa violence. C’est à frémir et pleurer.
C’est un texte terrible mais indispensable. » Carole Zalberg
Coup de poing dans le ventre, ça empêche de respirer, j’imagine ce que doivent ressentir les spectateurs. Je ne me souviens pas avoir ressenti un tel choc depuis longtemps (…) Ton texte nous parle de nous, nous les femmes, de moi, de toi, d’autres… Il « parle » moins qu’il n’interpelle, faisant resurgir, en ce qui me concerne, des bribes enfouies du passé… C’est terriblement courageux! et bouleversant. Si ça frappe aussi juste, c’est parce que c’est parfaitement écrit, maîtrisé. » Martine B.
« Il y a déjà un petit moment que j’ai lu Plainte contre X. Quel choc! (…) C’est un texte très fort et douloureux! Un livre à lire et à faire lire! » Artemisia Zaza